Nos doctorant.es
Moutaa Amine El Waer
Doctorant au département de sociologie à l’UdeM (dirigé par Anne Calvès et Pascale Dufour). J’ai effectué ma recherche de maîtrise sur les trajectoires militantes dans le mouvement étudiant en Tunisie. Je continue pour mon doctorat la recherche sur les transformations de la gouvernementalité à l’université et des mouvements étudiants dans le contexte de crises politiques en Tunisie et au Sénégal. Je m’intéresse également aux résistances des populations subalternes et à l’exploitation et aux oppressions dont elles font l’objet. J’ai participé dans ce cadre à une recherche sur les discriminations raciales subies par les noir-e-s Tunisien-e-s.
Jean-Vincent Bergeron-Gaudin
Mes travaux portent principalement sur les rapports entre l’État et les groupes communautaires au Québec dans une perspective historique. Dans le cadre de ma thèse, je m’intéresse à l’effet du temps sur l’action collective à partir du cas du mouvement québécois pour le droit au logement. Détenteur d’un baccalauréat (Université Laval) et d’une maîtrise (Université du Québec à Montréal) en travail social, j’ai également un intérêt pour la pratique de l’organisation communautaire et l’évolution des politiques sociales, notamment dans les secteurs de la santé, des services sociaux et de l’habitation.
Ève-Laurence Hébert
Issue d'une passion pour la musique et d'une formation en science politique, ma thèse de doctorat porte sur la lutte contre les violences sexuelles et les discriminations sur la scène musicale en observant la diffusion des pratiques anti-oppressives entre des milieux alternatifs et les espaces grands publics. Mes intérêts s'articulent également autour du champ de la sociologie politique et en études féministes, pour lesquels j'enseigne des cours de premier cycle à l'Université de Montréal.
Marion Leboucher
À la croisée entre les sociologies de l'action publique et des mouvements sociaux, mes travaux portent sur les mutations des modes de gestion étatique des tiers secteurs d'intervention auprès des femmes au Québec et en France. Mes recherches doctorales portent plus précisément sur les effets pluriels et variés des formes d'institutionnalisation sur l'intervention féministe.
Thèmes de recherche
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Études perspectives théoriques féministes
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Sociologie des mondes communautaire et associatif
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Sociologie de l'action publique
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Militantisme et professionnalisation
Hélène Madenian
Hélène Madénian est étudiante en doctorat en études urbaines à l’INRS centre Urbanisation Culture et Société. Elle a précédemment obtenu une maîtrise en gestion de l’EM Lyon (2004) et une maîtrise en environnement et développement durable de l’Université de Montréal (2017). Elle participe à titre de stagiaire de recherche au projet Labo Climat Montréal.
Thèmes de recherche
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Gouvernance climatique urbaine
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Action publique
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Résilience urbaine
Rushdia Mehreen
Rushdia est étudiante au doctorat en science politique à l’Université du Québec à Montréal. Sa recherche porte sur les dynamiques de pouvoir dans les organisations communautaires de gauche et de mouvements sociaux (social mouvement organisations). Elle a fait des études de baccalauréat en Inde et à l’Université McGill, et a ensuite complété sa maîtrise en géographie, urbanisme et environnement à l’Université Concordia. Entre autres implication, elle est associée avec le collectif « Politics & Care » depuis sa création en 2012. Elle a aussi été impliquée dans la mobilisation et l’organisation de la grève de 2012 à Concordia, élue sur différentes associations ainsi qu’au sein de l’équipe nationale de l’ASSÉ.
Gabrielle Perras St-Jean
Doctorante en études urbaines à l'Institut national de la recherche scientifique (INRS), Gabrielle Perras St-Jean s'intéresse à la place des animaux en ville et à l'écoféminisme. Plus spécifiquement, sa thèse porte sur les initiatives citoyennes visant à favoriser le bien-être animal à Montréal. Son travail se situe au confluent des études urbaines et des études féministes. Elle est récipiendaire d'une bourse d'études supérieures du Canada Vanier.
Véronique Pronovost
Véronique Pronovost est doctorante en sociologie et en études féministes. Elle est détentrice d’un baccalauréat et d’une maîtrise en science politique. Elle s’intéresse à l’antiféminisme conservateur aux États-Unis et au Canada. Ses recherches portent sur l’institutionnalisation du mouvement conservateur ainsi que sur les stratégies déployées par les mouvements conservateurs contemporains. Elle est récipiendaire d’une bourse doctorale provenant du Fonds de recherche Société et culture (2017). Véronique siège sur le Conseil de l’Institut de recherches et d’études féministes (IREF) depuis 2018 et est membre du comité de veille stratégique en avortement piloté par la Fédération du Québec pour le planning des naissances (FQPN).
Elena Waldispuehl
Elena Waldispuehl est candidate au doctorat en science politique à l’Université de Montréal. Elle est à la fois boursière Vanier-Banting et de la Fondation Pierre-Eliott-Trudeau. Membre de la chaire sur l’antiféminisme du RéQEF, sa thèse s’intéresse aux conséquences en ligne et hors ligne des cyberviolences sur les trajectoires militantes féministes.
Thèmes de recherche
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Mouvements sociaux et féminismes
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Cyberviolences antiféministes
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Enjeux de cybersécurité
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Méthodes qualitatives en ligne et hors ligne
Laury Chayer
Doctorante à l’Université McGill, elle rédige une thèse sur l’ethos d’anarchistes manifesté dans des revues militantes, lesquelles ont été publiées en France entre 1952 et 1978. Plus largement, elle s’intéresse à l’analyse du discours – revues, textes de chansons, médias, articles scientifiques, textes d’affiches, etc. – de personnes dissidentes par rapport au capitalisme, au patriarcat, au privilège blanc, à l’hétéronormativité et à la mononormativité. Dans ce contexte conflictuel, voire polémique, sont étudiées les épithètes et l’argumentation propres à l’auto-qualification, à la désignation d’alli-é-es (et de personnes ou de groupes sujets à une forme de mobilisation) et à la désignation d’adversaires.
Zainab El Guerrab
Zaïnab El Guerrab est titulaire d’une maitrise en économie et management et d’un baccalauréat en sciences économiques. Elle est actuellement étudiante au doctorat en études urbaines où elle prépare un projet de recherche sur l’action politique dans les villes polluées de longue date. Zaïnab a une expérience de travail d’une dizaine d’années. Elle a notamment travaillé au bureau de Rabat de la Fondation Heinrich Böll en tant que responsable du programme d’écologie politique. Elle y a coordonné des publications autour des politiques climatiques, de gouvernance des ressources naturelles
Marie Lefebvre
Étudiante au doctorat en sciences politiques à l’Université de Montréal, j’ai obtenu en France un double diplôme de maitrise en Philosophie, politique et économie (Institut d’études politiques de Lille) et Pratiques de l’interdisciplinarité en sciences sociales (Ecole normale supérieure/EHESS). Mes travaux de recherche portaient sur les mobilisations pacifiques des supporters de soccer dans l’espace public et leurs modes d’organisation dans des actions de plaidoyer face aux pouvoirs publics et aux instances sportives. Mes recherches actuelles questionnent le rapport des jeunes marginalisés aux dispositifs de participation citoyenne.
Thèmes de recherche
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action collective
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sociologie de la jeunesse
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participation citoyenne
Agathe Lelièvre
Agathe Lelièvre est candidate au doctorat en science politique à l’Université de Montréal sous la supervision de Laurence Bherer. Sa thèse porte sur les transformations du volontariat en prenant le cas du volontariat en agriculture biologique dans une comparaison France-Québec.
Thèmes de recherche
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Volontariat
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Action collective
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Sociologie du travail
Héloïse Michaud
Héloïse Michaud est doctorante en science politique et études féministes à l’Université du Québec à Montréal. Sa recherche doctorale porte sur les controverses sur le genre et le féminisme dans le contexte des médias sociaux et le rejet du féminisme par les femmes. Elle est titulaire d’un master de recherche en sociolinguistique et d’un master professionnel en didactique du français langue étrangère (FLE). Elle est membre du Réseau Québécois en études féministes (RéQEF), du chantier sur l’antiféminisme du RéQEF et membre associée du programme Genre et discriminations sexistes et homophobes (GEDI) de l’Université d’Angers (France). Elle est boursière du FRQSC pour 2018-2022.
Camille Morin
Camille Morin-Delaurière est candidate au doctorat en science politique à l'UdeM. Elle est diplômée d'un master SHS mention sociologie, histoire, politique en Études de genre, d'un master en Histoire relations internationales et d'un master en philosophie politique. Elle est spécialisée dans le domaine des recherches féministes, des sexualités et de l'intersectionnalité. Elle commence une thèse en cotutelle internationale, sous la direction de Pascale Dufour, portant sur l'intersection entre les mouvements féministes et homosexuels, leurs alliances et divergences quant aux théories et aux pratiques militantes de l'action collective des luttes d'émancipation sexuelle en France et au Québec (1970-1980).
Alexia Renard
Titulaire d'une maîtrise de philosophie et d'une maîtrise en environnement et développement durable, je suis candidate au doctorat de science politique sous la direction de Pascale Dufour. Je m'intéresse aux mouvements véganes et antispécistes en perspective comparée France-Québec
Thèmes de recherche
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Droits des animaux
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Mouvements sociaux